Bonnes ou mauvaises, planifiées ou inattendues, éphémères ou régulières, bouleversantes ou apaisantes, familiales, amicales, professionnelles, les rencontres tissent notre vie. S’il arrive qu’elles nous blessent, elles nous transforment, nous déplacent et nous font grandir, ainsi, elles nous construisent. Dans le Premier comme dans le Nouveau Testament,
Bonnes ou mauvaises, planifiées ou inattendues, éphémères ou régulières, bouleversantes ou apaisantes, familiales, amicales, professionnelles, les rencontres tissent notre vie. S’il arrive qu’elles nous blessent, elles nous transforment, nous déplacent et nous font grandir, ainsi, elles nous construisent. Dans le Premier comme dans le Nouveau Testament,
Le temps des traversées semble s’éloigner avec des replis sur soi qui envahissent le monde. Chacun.e s’enferme dans ses acquis, dans son identité, voyant celui, celle qui est différent·e avec méfiance, voire avec peur. Les murs se dressent, les frontières se ferment pour s’isoler du
Bonnes ou mauvaises, planifiées ou inattendues, éphémères ou régulières, bouleversantes ou apaisantes, familiales, amicales, professionnelles, les rencontres tissent notre vie. S’il arrive qu’elles nous blessent, elles nous transforment, nous déplacent et nous font grandir, ainsi, elles nous construisent. Dans le Premier comme dans le Nouveau Testament,
Bonnes ou mauvaises, planifiées ou inattendues, éphémères ou régulières, bouleversantes ou apaisantes, familiales, amicales, professionnelles, les rencontres tissent notre vie. S’il arrive qu’elles nous blessent, elles nous transforment, nous déplacent et nous font grandir, ainsi, elles nous construisent. Dans le Premier comme dans le Nouveau Testament,
Elles sont là, l’une et l’autre. Pour le moment, elles se jaugent. Intimidées, peut-être, de ce face à face. Chacune prend conscience de ce avec quoi elle arrive et qu’il lui faudra poser, déposer pour se rendre disponible à l’autre. Un désir les porte : s’aventurer ensemble sur
Le temps des traversées semble s’éloigner avec des replis sur soi qui envahissent le monde. Chacun.e s’enferme dans ses acquis, dans son identité, voyant celui, celle qui est différent·e avec méfiance, voire avec peur. Les murs se dressent, les frontières se ferment pour s’isoler du
Elles sont là, l’une et l’autre. Pour le moment, elles se jaugent. Intimidées, peut-être, de ce face à face. Chacune prend conscience de ce avec quoi elle arrive et qu’il lui faudra poser, déposer pour se rendre disponible à l’autre. Un désir les porte : s’aventurer ensemble sur
Bonnes ou mauvaises, planifiées ou inattendues, éphémères ou régulières, bouleversantes ou apaisantes, familiales, amicales, professionnelles, les rencontres tissent notre vie. S’il arrive qu’elles nous blessent, elles nous transforment, nous déplacent et nous font grandir, ainsi, elles nous construisent. Dans le Premier comme dans le Nouveau Testament,
Elles sont là, l’une et l’autre. Pour le moment, elles se jaugent. Intimidées, peut-être, de ce face à face. Chacune prend conscience de ce avec quoi elle arrive et qu’il lui faudra poser, déposer pour se rendre disponible à l’autre. Un désir les porte : s’aventurer ensemble sur
